Pourquoi les banquiers gagnent-ils autant que les footballeurs ?
Date de dépôt : 30/04/2008

Les brèves Maths-fi du 30/04/2008.

Quelques lectures pour vous occuper pendant le(s) pont(s) !

Pour se remettre dans le bain...après le(s) pont(s) :
vendredi 16 mai : Séminaire Bachelier à l'IHP avec Alfred GALICHON (Département d'Economie de l'Ecole Polytechnique).

Les Inscriptions en Master 2 (rentrée septembre 2008) sont ouvertes.

Présentation Master en apprentissage
Mercredi 7 mai 12h-14h :
présentation du Master Mathématiques de la Modélisation et de la Décision, Spécialité Ingénierie Statistique et Financière, parcours en apprentissage (Domaine MIDO-Dauphine).

Quelques lectures pour vous occuper pendant le(s) pont(s) !

  • Retour sur la crise du subprime
    Résumé : Si l'on prend des hypothèses extrêmes de taux de défaut de 50% et de taux de récupération de 50%, le coût du subprime serait de 300 milliards de dollars, dont près de la moitié; hors des Etats-Unis.
    En fait, la crise s'est étendue au-delà du périmètre du subprime et les estimations de son coût vont jusqu'à 500 milliards de dollars (4 points de PIB), voire plus.
    Auteur : Philippe d'Arvisenet (Direction des Etudes Economiques, BNP Paribas.
    Source : BNP Paribas Conjoncture (avril 2008)
  • AMF : meilleure régulation, un premier bilan.
    Programme de travail 2008-2009

    Résumé : Le présent document aborde, successivement, le premier bilan de l'exercice pour une meilleure régulation, les réformes internes de l'AMF, la mesure des résultats déjà atteints, les prochaines étapes de la démarche en 2008, et le programme de travail à deux ans en matière de régulation financière.
    Il se fonde sur les dix objectifs et principes généraux qui sont désormais fixés aux services de l'AMF dans l'exercice quotidien de la régulation.
    Auteur : Autorité des Marchés Financiers (AMF)
    Source : AMF-France.org (25 avril 2008)
  • Marchés monétaires : taux et spreads de taux toujours plus haut ?
    Résumé : Les taux courts sur les marchés interbancaires ne se détendent pas, au contraire. La British Bankers' Association a même laissé entendre que les taux LIBOR en dollars pourraient être plus élevés en pratique que leurs fixings officiels.
    La Fed et les autres banques centrales restent pourtant très actives. Leurs interventions pourraient atteindre leur limite en termes de montants alloués mais d'autres solutions sont à l'étude pour prêter davantage aux banques.
    Dans ce contexte, les taux courts ont peu de chance de se détendre fortement à court terme.
    Auteur : Direction des Etudes Economiques-Crédit Agricole.
    Source : CA Perspectives Hebdo (n°16/08 du 14 au 18 avril 2008)

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